En Mauritanie on gave de force les petites filles pour
qu’elles atteignent un embonpoint valorisant sur le marché du mariage forcé.
Quand j’étais enfant, les bonnes sœurs de Saint Joseph de Cluny à
Saint-Louis-du-Sénégal nous édifiaient en nous racontant des histoires de
missionnaires dévorés par les cannibales. Dans Le Manitoba ne répond plus,
Jo et Zette sont eux aussi engraissés par des Sauvages qui projettent de les manger.
On a rapporté que les soldats vietcongs ingéraient le foie de leurs ennemis pour
s’approprier leur force (mais peut-être que leurs frères ennemis en faisaient
autant). Ces pratiques nous font horreur. Elles sont ou ont été bien réelles
cependant. Tout comme les camps de concentration nazis et les goulags
communistes. Sauvage ou civilisé, à chacun son horreur.
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