Aurore Martin, membre de l’organisation terroriste Batasuna, était sous le coup d’un mandat d’arrêt européen. Elle a été coffrée en France et extradée en Espagne où elle encourt une peine de douze ans de prison. Les bonnes âmes se sont offusquées de ce que l’accord d’extradition ait été respecté. Elles jugent la peine trop sévère – douze ans, c’est vache ! Et alors, il faudrait appliquer les lois à la tête du client ?
"à la tête du client" c'était avant 1981, Badinter et Mitterrand...
Rédigé par : adamastor | 05 novembre 2012 à 20:19
La tête du clent de gauche doit être préservée, elle pense le bien, sa lutte est juste.
La tête du client de droite n'est pas défendable, il est obligatoirement coupable.
Rédigé par : Le Nain | 06 novembre 2012 à 15:55
C'est surtout la manière qui me gêne un peu, de la part d'un gouvernement qui place, si j'ai bien lu sur le mur des toilettes, le sens de l'honneur et des droits de l'"homme" au dessus de tout.
Je m'ai replongé-comme dirait ma petite voisine- dans le pedigré de cette môme Martin, et je place bien l'anarchie et ses soeurs jumelles dans un cadre qui m'est malgré tout étranger.
Et là encore, après brèves manipulations, il faut se laver énergiquement les paluches toutes souillées de mensonges....
Pourquoi ?
Rédigé par : L'amant-de-la-cousine-Bette | 06 novembre 2012 à 18:52