Il paraît qu’en application de la loi Evin contre le tabagisme, on maquille les photos et les affiches anciennes lors de leur publication pour ne pas faire de publicité déplacée. Ces retouches frisent le grotesque. Elles me font penser à l’enjuponnement des pieds de table, de piano ou de fauteuil dans la société puritaine.
Grain de poivre
Etait-il moins grotesque de s'afficher en permanence avec une cigarette au bec ou entre l'index et le majeur pour paraître moderne, actif, de son temps, sans complexe, évolué..., tel Belmondo dans "A bout de souffle" ?
Rédigé par : Ainay | 19 décembre 2010 à 14:35