Je soupçonne, mais j’ai l’esprit mal tourné, que Moi-Président a ordonné le sauvetage de notre espion, Denis Allex, en pensant que toute la gloire d’une opération réussie lui profiterait à la veille de la Manif pour tous. Hélas, pour Allex et les deux commandos morts dans la bagarre, ça n’a pas marché.
On peut tout imaginer : les contre-vérités permanentes, la dissimulation de la réalité des partipants à la manif pour tous, l'annonce préalable d'une météo effroyable, la lettre perso en appui de la plainte de sa concubine... mauvais personnage cet homme-là.
Rédigé par : Elle 50 | 15 janvier 2013 à 09:37
Rassurez-vous, vous n'êtes pas la seule à avoir l'esprit mal tourné dans cette affaire.
N'ayant pu atteindre le Champ de Mars qu'après la tombée de la nuit dimanche, après des heures d'attente à Denfert tant l'affluence était importante, les chiffres manipulés de la manifestation "consistante" me restent en travers de la gorge.
Rédigé par : strassburger | 15 janvier 2013 à 13:45
Surtout quant une information officieuse de la gendarmerie donne 1 350 000 participants !
Rédigé par : la belette | 15 janvier 2013 à 18:43
bien sûr, il faut écrire quand et non quant !
Rédigé par : la belette | 15 janvier 2013 à 21:05
La préposition latine "in" se décline-t-elle à l'accusatif (pacem, pour pax) ou à l'ablatif (pace) ?
Rédigé par : in | 26 janvier 2013 à 00:17
Le lieu où l'on est, le lieu où l'on va, vieille leçon de grammaire latine. Quand il s'agit du lieu où l'on reste, il me semble que l'ablatif est de mise.
Rédigé par : Grain de poivre | 26 janvier 2013 à 11:54