Ah, les femmes !

Il y a deux personnalités socialistes qui doivent regretter de ne pas être homosexuelles. Strauss-Kahn d’abord. Le montant de la rançon de sa tranquillité demeure confidentiel et reste sans doute astronomique. Et tout ça pour qui ? Allez, on peut le dire maintenant que l’affaire est close : un thon. Parce qu’enfin, Naffissatou Diallo est loin d’être un canon (quoique, une Bertha…). Il fallait vraiment que le malheureux ait faim. Le second est Moi-Président. Déjà qu’il doit se farcir les chamailleries et les querelles de son gouvernement, assumer une cote de popularité en baisse ininterrompue, constater tous les jours les résultats désastreux de sa prétendue politique, eh bien, en plus il faut que le soir en rentrant du turbin il se tape les scènes de Valérie. Quel homme résisterait à de telles pressions ? C’est qu’elle est crampon, la maîtresse du président. Ah, j’oubliais ce pauvre Valls ! Un type si droit, si honnête, si à cheval sur les vraies valeurs, celles de gauche évidemment. Jusqu’où l’a-t-on harcelé, tanné pour qu’il émette une lettre de commande, sur papier à en-tête du ministère en plus ? Et on le présente comme un éventuel candidat à un futur mandat présidentiel ?

Comments

[Rédigé par : Le Nain]

Mimolette Ier doit aimer se faire fouetter en bas résille, parce qu'après Ségolène qui ressemble autant à une douce femme que moi à l'archevêque de Canterbury, dégoter une Valérie qui ressemble comme deux gouttes d'eau à la première, c'est qu'il aime ça. Les deux sont tendre comme de l'acier Krupp, puisque l'on parle de Bertha.

[Rédigé par : Elle 50]

a)Le Nain : excellent ! Je me marre !

[Rédigé par : Monsieur hum hum]

Un thon ? cela voudrait il dire que si une femme ne ressemble pas à Miss quelque chose elle ne peut inspirer un désir si fort quil necessite une consommation rapide ? Je dois avouer qu'il m'est arrivé de craquer sur des femmes assez éloignées des prix de beauté ... Et pis un thon à plusieurs millons de dollars ça devient interessant de devenir pêcheur non

[Rédigé par : L'amant]

Les Femmes, les Femmes, si elles respectent leur féminité sont bien toutes "belles" pour qui sait les regarder.
Et les prix de beauté ne sont pas sur le podium, ainsi va la vie.

Je suis tel l'hippopotame au milieu de son marigot, je n'arrive pas à me faire à l'idée que l'on parle de "présidents", pour être à ce point sans fierté ni honneur.
Nous vivons des temps bien singuliers, comme chantait Brassens, mais où la poêsie
n'a pas droit de cité.
Vive la jeunesse et espérons...