Les laboratoires pharmaceutiques usent des mêmes ruses pour faire ingérer leurs médicaments aux enfants et aux animaux. Tous les parents connaissent le goût de fraise du clamoxyl. Un parfum à vous soulever le cœur. Si le vermifuge à la pomme que j’essaie d’administrer à Nadir et Frichti est aussi dégueulasse on comprend que les pauvres canassons n’en veuillent pas. La vieille astuce qui consiste à enfouir le produit dans un aliment favori ne marche pas mieux. Je crains que, comme avec les gosses, il ne faille recourir à la fermeté.
Eh ben, bon courage !
Rédigé par : Elle 50 | 29 octobre 2012 à 22:24
Zingaro...
On dit que Bartabas et son fameux frison noir communiquaient directement, et force est de constater que leur complicité était hallucinante.
Mais il en est de même sans doute chaque fois, donc souvent Dieu merci, qu'un peu d'amour rapproche homme et animal.
Chez le cheval, l'ouïe serait hyper-hyper...
Je rejoins ainsi Elle 50 : il va falloir mettre beaucoup beaucoup de composantes affection-autorité pour convaincre ces joyeux compagnons...
Bon courage bis...
Rédigé par : L'amant-de-la-cousine-Bette | 30 octobre 2012 à 07:38
Pff, et pour faire avaler une pilule à un chat. Le matou évite par tous les moyens, la recrache même si on lui masse la glotte, et j'en sors plein de griffures, sur les gants, je ne suis pas fou.
Rédigé par : Le Nain | 31 octobre 2012 à 10:18