Il y a un début à tout. Pour moi, ce matin, ça a été le tractage pour le président-candidat au marché hebdomadaire de Seissan. Le Gers est un solide fief socialiste. Tellement acquis à la gauche que ses représentants ne se donnent même pas la peine d’aller à la rencontre de leurs concitoyens. Car la concurrence était maigre. Les supporteurs de Bayrou et Le Pen se sont contentés des pare-brise mais sont restés invisibles dans la rue. Pour moi, je suis allée au contact. Et j’ai été agréablement surprise par la réaction des gens. Finalement ils ont été peu nombreux à m’envoyer paître. Mais c’est peut-être que nos compatriotes sont plus polis qu’on ne pense.
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