Le Grand Hôtel de Saint-Jean-de-Luz s’enorgueillit de cinq étoiles. J’y suis descendue samedi dernier. Je vous le confie, je n’ai pas l’habitude de fréquenter des établissements aussi distingués mais il s’agissait là d’une sorte de pèlerinage. Evidemment, c’est cher. Voilà pourquoi je trouve étonnant qu’une ampoule soit grillée au dessus de la baignoire, que la porte des toilettes soit difficile à fermer, qu’un clou solitaire révèle l’absence d’une gravure et que les tasses en libre service (pour les boissons dites d’accueil) soient dépourvues de soucoupe. J’ai aussi été surprise par l’empressement de trois ou quatre valets à l’arrivée et leur absence lors du départ. Ayant réglé définitivement la note, il n’y avait plus rien à attendre de mon porte-monnaie et je pouvais bien porter ma valise et mon manteau toute seule.
C'est bien pour ça que je ne règle jamais la note avant que les bagages aient été dûment rangés dans le coffre de la voiture par les dits-valets ! Cela me décharge moi et leur assure à eux la chance d'une formation continue !
Rédigé par : Elle 50 | 30 avril 2012 à 23:19
Ma pauvre Grain de Poivre, il n'y a plus de personnel... c'est à désespérer... ils s'alignent sur les 4 ou 5 étoiles proposés par les agences de voyages, lors de vacances dans des pays exotiques!
Rédigé par : adamastor | 01 mai 2012 à 00:58
Les soucoupes volées ?...
Rédigé par : Dominique | 01 mai 2012 à 19:44