Il fallait s’y attendre : la politique de non intervention en Tunisie du gouvernement français est critiquée par l'opposition. De toute façon, si on ne fait rien, on est complice et si on se manifeste, on s’ingère. C’est sans solution. Personnellement je me réjouis que Ben Ali ait trouvé refuge en Arabie saoudite. Au moins comme ça on n’aura pas à le soigner au Val-de-Grâce.
Grain de poivre
Dans six mois les Tunisiens et surtout les Tunisiennes vont regretter Ben Ali Pour une "liberté" de la presse ils auront sacrifié leur propre liberté . Les islamistes doivent se frotter les mains.
Rédigé par : Paul | 15 janvier 2011 à 20:02