Barak et Nicolas sont à tu et à
toi. Ca ne devrait pas obliger le second à relâcher son langage comme il l’a
fait lors de la conférence de presse d’hier. Quèques au lieu de quelques, par
exemple, ça fait tache. Surtout dans la bouche d’un président de la République –
en voyage officiel qui plus est. Mais qui osera le lui dire ? Je doute que
Nicolas soit un lecteur assidu de Grain de poivre. Dommage pour lui.
Grain de poivre
Quèques t'as toi ?
Casse-toi pauvre c... !...
Rédigé par : Dominique | 31 mars 2010 à 23:30