« Je pense bien à toi. » : voilà une déclaration qui fait plaisir, surtout quand ça ne va pas. C’est une consolation de savoir qu’on n’est pas seul au monde, qu’il y a des gens pour se tenir à vos côtés, à qui on pourra même demander de l’aide. D’autant qu’ils ont ajouté : « Et surtout n’hésite pas ! » Certains s’arrêtent à ces formules qui les dédouanent définitivement d’en faire davantage. Vous voyez certainement qui je veux dire. Non ? Allez en attendant je pense bien à vous...
Grain de poivre
Bonjour Béatrice,
Je fais partie des gens qui "pensent bien à toi" de loin, d'abord parce que je te vois jamais, ensuite parce que je ne te connais pas assez. Depuis le déplacement qu'on avait fait ensemble au viaduc de Millau, tu es souvent avec moi, à la messe et à Lourdes, l'été, mais tu ne le sais pas. C'est ça, la force de la prière: le silence, la solitude. La pauvreté de la prière.
Donc, moi aussi, je pense à toi et ne t'oublie pas. Si je peux plus, dis-le moi !
Rédigé par : Natalie | 05 février 2007 à 10:47