Promis-juré, si on livre (donne ?) des armes aux rebelles syriens, on ne les retrouvera pas au Mali ni entre les mains de dangereux terroristes islamistes preneurs d’otages. Des garanties ont été prises. En revanche, rien n’interdit de penser qu’elles pourraient atterrir à Marseille.
On nous prend vraiment pour des c...
Rédigé par : Elle 50 | 16 mars 2013 à 00:30
Quid faciamus ?
Rédigé par : Le Panier | 16 mars 2013 à 22:37