La voiture-bar est fermée, la queue au guichet prend vingt minutes, les journaux n’ont pas été livrés, l’escalator du métro est en pane, la messagerie est en berne, etc. La liste peut être longue des contrariétés essuyées quotidiennement. Mais les contrarieurs ont une réponse magique et anticipent de façon imparable le mécontentement des usagers : « Merci de votre compréhension. » Et maintenant, si vous n’êtes pas content, allez vous faire voir ailleurs.
Et maintenant, la neige, qui bloque les trains, la circulation, les avions, plusieurs lignes de métro et rend délicate la marche sur les trottoirs et chaussées.
Comment diable fait-on à Oslo, à Berlin, à Kiruna, à Helsinki ?
Rédigé par : Belle de Mai | 13 mars 2013 à 00:00