Dans le Grand nord américain l'ours
brun fricote avec l'ours blanc. Résultat, un rejeton métis qu’on appelle « pizzli ».
On dirait un ours brun en blanc. Les scientifiques, ces sentinelles du monde, s’inquiètent.
Elles craignent que ce métissage n’accélère la disparition des ours polaires
dont la population pourrait se réduire de 70 % d’ici 2050*. Voilà un discours
qui va droit à l’encontre du politiquement correct. Si l’on suit le
raisonnement de ces biologistes, le métissage serait un danger pour les espèces.
Or voici des lustres qu’on nous rabâche qu’il est une chance – que dis-je, une
richesse – pour l’homme. Faudrait accorder les violons. Ou alors, l'espèce humaine n'existe pas.
Aujourd’hui en France du 24 octobre 2012
Vous n'avez pas l'esprit assez bien-pensant. Il fallait écrire :
Si l'ours blanc (espèce vieillissante en voie de disparition) joue la carte du métissage avec l'ours brun(espèce jeune, dynamique, riche génétiquement et culturellement, etc...), c'est parce qu'il a compris que l'ours brun était une chance pour l'ours blanc, qui pouvait enfin renouveler sa propre espèce grabataire et décadente, lui apportant diversité, jeunesse, talents, et j'en passe !
Et nous, pauvres européens, nous ferions bien de nous inspirer de l'exemple de l'ours blanc, qui est décidément en avance sur son époque.
Rédigé par : strassburger | 25 octobre 2012 à 09:36
Il faudrait que strassburger arrête de fumer les substances qu'il se procure auprès des ours bruns; il va être pris pour un fou et cela fera le miel des ours bruns!
Rédigé par : adamastor | 25 octobre 2012 à 12:11