Les romans du XIXème siècle sont peuplés de suborneurs. Ces vils personnages n’ont qu’une idée en tête, séduire une oie blanche, la compromettre et rafler la dot. Suborneurs et scélérats ont disparu, les jeunes filles aussi. Sans parler des dots. Les ont remplacés les salauds, les nanas et… rien du tout.
Vous usez, chère amie, d'une bien noble élégance pour tourner le livre vers des pages passées. De fait, on le relit différemment, avec ce shibboleth (?) qui n'est pas tout à fait de la nostalgie.
Mais l'encre est peut être plus fraîche que vous ne pensez.
J'ai l'extrême bonheur de compter dans mes proches deux tantes quasi nonagénaires, bon pied, relativement bon oeil. Elles ont connu cette mésaventure....et en gardent un souvenir délicieux.
Reste bien sûr l'image seule du séducteur...
Rédigé par : L'amant-de-la-cousine-Bette | 15 juin 2012 à 16:34
Dot ? vous parlez de dot, madame ?
Rédigé par : vivi | 16 juin 2012 à 07:43