Le message de Lise, ce professeur de Béziers qui s’est suicidé dans la cour de récréation devant les enfants, me semble clair : « Je n’en peux plus, vous m’avez poussée à bout, je meurs. » Aussi la « marche blanche » à laquelle ont participé ses collègues, les parents d’élèves et les élèves me laisse-t-elle perplexe. Les collègues je comprends, eux aussi sont confrontés à la barbarie des chenapans. Mais la présence des parents qui n’élèvent pas leurs gosses et des enfants qui martyrisent leurs profs, ça m’échappe.
Grain de poivre
Le crocodile pleure en croquant sa victime, mais chez lui c'est physiologique...
Rédigé par : adamastor | 19 octobre 2011 à 22:38
Les gosses n'ont pas d'éducation, juste de l'élevage.
Rédigé par : Le Nain | 20 octobre 2011 à 16:07
Un sentiment de remords, peut-être, ou l'impression que la participation à la marche vaut absolution ?
Rédigé par : Croix Pâquet | 23 octobre 2011 à 13:07
Croix Pâquet:
tout à fait d'accord !
Je cherchais mes mots ...
Rédigé par : Dominique | 24 octobre 2011 à 01:42