L’année dernière la journée de solidarité, vous savez le fameux lundi de Pentecôte chômé-travaillé finalement remplacé par une « contribution », a rapporté 2,24 milliards d’euros. Pas mal ! Là-dessus, 1 346 millions sont allés aux vieux et 895 aux handicapés. On comprend pourquoi certains envisagent de porter le nombre de la journée à deux (deux journées). Le problème est que l’effort n’est supporté que par les salariés, les indépendants, les rentiers, les chômeurs, les retraités, les femmes au foyer, les rsastes, les jeunes, les enfants et les bébés n’étant pas concernés.
Grain de poivre
Désolée, grain de poivre, les indépendants cotisent à cette journée par un prélèvement URSSAF.
Pour les salariés, ce sont les patrons qui paient une cotisation patronale de 0.30 % du salaire brut, libres à eux de les répercuter sur leurs employés en les faisant travailler une journée de plus.
Rédigé par : La belette | 18 juin 2011 à 00:22