C’est la deuxième fois que je m’en plains dans ce blog. Le Figaro, qui pourtant jouit d’une liberté d’expression totale, est le premier à pratiquer une censure des plus frileuses qu'il ne supporterait pas et à juste titre. Le pire est qu’il le fait sous couvert de débat. C’est ainsi que le commentaire électronique que j’ai envoyé sur l’article Photo privée : Boillon menace de poursuites a été refusé. Ce n’était rien d’autre qu’une redite de ma note « Son Excellence » du 23 février mais sans l’allusion à Carla Bruni. Je suis certaine que c’est le mot « gay » qui a déclenché la censure. Elles ne sont tout de même pas venues toutes seules les photos de Boillon sur Google, images. Moi qui croyais que c’était très bien vu d’être homo, je m’aperçois qu’il n’en est rien. Ou alors les homos sont les seuls à pouvoir dire qu’ils le sont. Quelle bande de ringards et de faux-derches (relevez l’à-propos) au Figaro !
Grain de poivre
Ah ! La presse bourgeoise !
Relisez Balzac (Les illusions perdues, Splendeurs et misères des courtisanes) ou Maupassant (Bel Ami). Vous verrez, rien n'a changé depuis 1840, si ce n'est le "traitement de texte"...
Rédigé par : Jacques Razu | 28 février 2011 à 09:48