Il y a déjà trente ans Mme Sabine Schermann, transporteur routier de son état et membre de la Fédération nationale des transporteurs routiers, s’étonnait que certains dockers cumulassent 452 jours d’arrêts de travail par an. En tant qu’employeur elle était concernée par cette curiosité parce que les autres activités du transport (aérien, maritime, terrestre) cotisaient tous à la même branche accidents et maladies du travail et donc subventionnaient les arrêts de travail ahurissants des dockers. Alors, où était, ou est encore le problème ? C’est très simple, chez les dockers, il y a des jours d’arrêt qui comptent double.
Grain de poivre
Un Etat dans l'Etat, une corporation qui s'est arrogée des avantages exorbitants, des pouvoirs publics hésitants.
Rédigé par : Ainay | 05 février 2011 à 17:29
ouais, c'est comme moi qui bosse quatre cents jour par an!
Rédigé par : josiane | 05 février 2011 à 21:49
Un magistrat me dit que les rares dockers qui n'adhèrent pas, ou plus, au syndicat unique, la CGT, ont toutes les chances de se retrouver un jour précipités dans un bassin du port.
Rédigé par : Philo 3 | 08 février 2011 à 00:03