Alors, comme ça, certains pharmaciens auraient utilisé un logiciel filou pour dissimuler des recettes au fisc. De l’ordre de 5 000 € par mois quand même. Les petites gens apprécieront. Et moi qui naïvement pensait, à la suite des campagnes de « communication » radiophoniques que c’étaient toujours des professionnels dévoués, à l’écoute, forcément honnêtes, qui ne vivaient que pour soulager et conseiller au mieux leurs congénères. Maintenant, je n’entrerai plus dans une officine sans me demander si le potard n’est pas un escroc.
Grain de poivre
Il y avait ceux qui vendaient les médicaments rapportés par des clients civiques*, et dont la date limite d'utilisation avait été atteinte, alors que ces médicaments étaient destinés à l'ordre de Malte pour être envoyés, après vérification de leur état, dans des pays pauvres.
* aujourd'hui on dirait "citoyens", qui n'est pourtant pas un adjectif.
Rédigé par : Ainay | 11 décembre 2010 à 23:30