Alors finalement, ils n’étaient
pas si paranos que ça, les Iraniens. Notre jeune Clotilde était bel et bien une
honorable correspondante comme disent nos amis britanniques. Elle a rudement
bien joué les innocentes. Si j’étais son petit ami, je me méfierais.
Grain de poivre
Comme dirait votre confrère blogueur Hervé: Reiss ... pire !
Rédigé par : Dominique | 18 mai 2010 à 11:24
Comme quoi un visage de madone peut en cacher un autre.....
Quant on lit son cursus, pas étonnant que les iraniens se soient posés des questions.....
Mais les liberations dans tous les sens ne seraient dues qu'au hasard du calendrier.....Le hasard fait quand même bien les choses.
Rédigé par : Lisa | 18 mai 2010 à 21:45