Qui se souvient de l’accord de Reykjavik signé en 1999 par toutes les puissances occidentales et développées ? Il interdisait, en gros, les éruptions volcaniques chez les signataires au nom de la conservation de la couche d’ozone et de la prévention du réchauffement de la planète. Aujourd’hui, cette convention internationale est battue en brèche dans le pays même qui l’a vue* naître. Et que font les signataires pour lutter contre cette source insupportable de pollution ? Rien. Ils ne rêvent que de rétablir le trafic aérien, Histoire de rétablir la production de CO2.
*Doit-on écrire vu ou vue ? Le Grévisse donne la réponse suivante :
Comment peut-on interdire une éruption volcanique, qui est un événement naturel et non créer ou produit par l'humanité? Le mieux comment a-t-on pu avoir l'idée de l'inscrire dans un accord? C'est plus que de la bêtise!
Bon dimanche
Rédigé par : Helene | 18 avril 2010 à 12:29
"... qui l'a vu naître ..."
me semble préférable.
Rédigé par : Croix Rousse | 19 avril 2010 à 22:17
1 - "qui l'a vu naitre" me parait aussi plus sympa. La convention (l') n'est pas le COD, me semble-t-il.
2 - Chut... "Qui va oser expliquer à la gentille hélène cette notion (un peu) subtile qu'est le deuxième degré ?". Je chuchote pour ne pas la vexer.
V.
Rédigé par : le vésuve | 20 avril 2010 à 14:08