Je
me suis fait avoir en achetant un carnet de tickets de métro au guichet de la
gare Montparnasse. Comme il y a la queue, l’agent prépare des piles de carnets
à l’avance pour que ça aille plus vite au lieu de les imprimer au fur et à
mesure de la demande. Il n’y a que neuf tickets dans le carnet qu’il me délivre
mais je ne m’en rends pas compte, je ne vais pas les recompter, je n’y pense même
pas et de toute façon il y a de la pression derrière. Quand le manège s’est
répété neuf fois, l’agent peut mettre dans sa poche peinard les 11,60 € que
paie le dixième client. A Montparnasse, au bout d’une journée de travail ça
fait un joli magot. Ni vu ni connu.
Grain de poivre
Même à la gare Montparnasse, il y a peut-être des distributeurs automatiques...
L'incident mérite d'être signalé au président ou au directeur général de la RATP.
Rédigé par : Perrache | 18 novembre 2009 à 23:08
Autre pratique : celle du garçon de café au bar qui demande l'addition parce qu'il part, empoche le prix du café sans passer par la caisse enregistreuse et ceci plusieurs fois par jour, du serveur des "routiers" ou autres petits restos - où bien souvent le repas se paye en espèces - qui empoche le billet ni vu ni connu. Au bout du mois, cela fait de bonnes petites sommes, parfois supérieures au salaire ! Là, ce sont les patrons qui sont grugés. Plus embêtant encore : le carnet de chèque délivré par l'employé de la banque lesté d'un chèque et de son talon ! Qui vérifie la suite des numéros ? Cette mésaventure est arrivée à l'une de mes proches qui a eu bien du mal à se faire rembourser par la banque !
Rédigé par : Elle 50 | 19 novembre 2009 à 09:15