Le métro est un lieu de rapprochements sociaux et physiques. Parfois plaisants, parfois franchement désagréables. Mais tout à l’heure il était difficile de savoir si le type qui était assis sur la place intérieure de la banquette et qui avait, foule oblige, le postérieur rebondi et ma foi visiblement pneumatique d’une donzelle grassouillette sous le nez était incommodé ou ravi de l’aubaine. Evidemment, s’il avait été galant homme, il lui aurait cédé la place et la question ne se serait pas posée.
Grain de poivre
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