Depuis toujours la seule évocation de la Grande guerre me fait pleurer. Tous ces garçons, tous ces hommes tués, mutilés, toutes ces années sous les obus et dans la boue, toute cette crasse dans les tranchées, toute cette trouille, toute cette ténacité, toute cette camaraderie. Tout ça pour qui ? Pour nous.
Grain de poivre
Il faut aussi évoquer les efforts du jeune empereur d'Autriche, Charles IV (béatifié par Jean Paul II), sabotés par Clemenceau, pour mettre un terme à la guerre dès 1917, en permettant à la France de recouvrer l'Alsace Moselle.
Les belligérants auraient pu éviter un million de victimes supplémentaires.
Rédigé par : 6ème A 6 | 11 novembre 2008 à 23:25
Je ne sais pas si les années qui passent pour moi font quelque chose à l'affaire : aujourd'hui, quand je vois relatées toutes les atrocités de la guerre, celles de 14-18, 39-45 comme celles d'Algérie, d'Indochine et d'ailleurs, j'en ai marre...
Se souvenir bien sûr, rendre hommage à ceux qui nous ont rendus libres et leur offrir notre gratitude, je le fais de tout mon coeur, que personne ne s'y trompe. Mais j'ai envie de paix dans un monde qui connaît encore la guerre, les souffrances de tous ordres. Mes propos seront donc un peu confus, mais si je dis que je préferais une relation des événements qui nous donne l'énergie et une force pour devenirs acteurs dans un monde meilleur, est-ce que Grain de Poivre comprendra ?
Rédigé par : Elle 50 | 12 novembre 2008 à 11:39
Ecraser l'Autriche en même temps qu'une médiation catholique, c'était écraser deux fois "l'infâme" d'un seul refus.
Ce qui importait pour Clémenceau et Malvy c'était de casser du catholique.
Le frère Princip, boute feu de Sarajevo, armé à Belgrade, avait commencé le boulot...
Rédigé par : Ach, du lieber Augustin... | 12 novembre 2008 à 11:54