8 h du matin, un colosse sort de l’hôtel particulier de l’ambassade
de Russie rue de Prony. La boule à zéro, le crâne pointu, les yeux petits, le
regard buté, les bras écartés du tronc par les muscles, chemise blanche,
costume noir, mallette noire. L’air pas commode du tout. On sent tout de suite
qu’en Russie on ne doit pas s’encombrer d’états d’âme.
Rue de Prony, l'ambassade de Russie ? Je la croyais plutôt dans cette sorte de blockhaus très soviétique boulevard Lannes, face au Bois, dont le permis de construire avait dû être délivré sur injonction du président d'alors, Pompidou, au nom de la raison d'Etat.
Rédigé par : 6ème A 6 | 29 mai 2008 à 20:54
A Russe costaud, Anglaise rousse.
Rédigé par : Darwinoff | 30 mai 2008 à 15:51