Les manutentionnaires qui chargent les camions à la sortie des usines de pâtes alimentaires bénéficient d’une tolérance de perte de un à trois pour mille. C’est-à-dire qu’ils ne sont pas sanctionnés s’ils crèvent par inadvertance des colis de nouilles dans cette fourchette. Les paquets endommagés leur reviennent. Actuellement on constate une hausse des pertes qui frisent presque systématiquement la limite maximale. De là à penser que la tension sur les céréales provoque l’organisation d’un marché noir, il n’y a qu’un pas que certains ont déjà franchi.
Grain de poivre
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