Je viens de voir le film « Le Jour d’après »,
sorti il y a déjà pas mal de temps et qui nous montre la glaciation subite de l’hémisphère
nord due paradoxalement au réchauffement climatique dont nous sommes, comme
chacun sait, collectivement et individuellement responsables. Eh bien, en
sortant de là, je n’ai pas regardé les giboulées à la fenêtre de la même
manière. Elles ont tout à coup revêtu un caractère inquiétant et menaçant. Heureusement
dissipé par le rayon de soleil qui finit toujours par les accompagner. Ouf, ce
n’est pas encore pour cette fois-ci.
Grain de poivre
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