Depuis cinq ans que je ne fume plus, mon odorat ne cesse de
s’affiner. Résultat, je suis incommodée par tout un tas de mauvaises odeurs
aussi bien à la ville qu’à la campagne. Sans compter celles de mes congénères…
Car il y a beaucoup plus de méchants relents que de suaves effluves. Donc l’argument
de la restauration des facultés olfactives est plutôt dissuasif de l’arrêt du
tabac.
Grain de poivre
C'est peut-être pas très dissuasif, mais n'empèche : sentir les bonnes odeurs des fruis et légumes (fraises, melons, pêches, abricots....) au marché, surtout quand le printemps arrive, c'est quand même bien agréable, et cela en vaut la peine.
Rédigé par : la belette | 17 mars 2008 à 00:20