Notre curé de campagne est sage. Connaissant les rancunes
féroces qui opposent certains de ses paroissiens il s’abstient de demander aux
fidèles de se serrer la pince lors de l’exhortation à la
paix du Christ. Dans les grandes villes anonymes où on a moins de
risque de détester son voisin de messe ce geste de réconciliation n’engage
pas grand monde.
Grain de poivre
Même raisonnement de la part de l'ex-curé de Villars sur Ollon (Vaud, Suisse), qui estimait que ce n'était pas compatible avec les idées de ses ouailles. Il faisait des exceptions "en saison", à la messe dominicale de 11 h, celle des touristes.
Rédigé par : Richard | 31 mars 2008 à 22:53