Parmi tous les êtres humains qui peuplent la terre, quelques
uns me sont en quelque sorte échus. Je n’en ai choisi qu’un, mon mari. Les
autres, mes parents, mes sœurs, mes enfants, mes petits-enfants, mes gendres,
non. Mais ça n’a pas d’importance. C’est cet homme-là et pas un autre qui est
mon époux, cet enfant-là et pas un autre qui est mon petit-fils, cette jeune
femme-là et pas une autre qui est ma fille. Beaux ou quelconque, intelligents
ou pas, gais ou tristes, heureux ou malheureux, malades ou en bonne santé, je
dois les prendre tels qu’ils sont et vivre avec eux cette vie-là et pas une
autre qui est la mienne.
A chacun ses valises... mais alors que penser ? Mener sa vie ou la vie nous mène ?
Rédigé par : Elle 50 | 16 septembre 2007 à 22:24