Je n’ai pas d’affection particulière pour Dominique de Villepin, pas d'antipathie non plus. Rien. Mais force m’est de reconnaître qu’il aura rendu à Nicolas Sarkozy un signalé service en faisant tourner la boutique jusqu'au bout tout en sachant que personne ne lui en saurait particulièrement gré. Par principe. Pour l’honneur.
Grain de poivre
Absolument.
Rédigé par : dab | 30 avril 2007 à 14:35
Nicolas Sarkozy ou non, le devoir élémentaire de Dominique de Villepin est d'assurer la fonction qu'il a acceptée jusqu'au dernier jour comme n'importe quel salarié qui voit le poste qu'il briguait attribué à un autre. Dont acte.
De là à rendre service à Nicolas Sarkozy, c'est une autre affaire. Ce qui est en revanche à peu près certain, c'est que si le choix de Nicolas Sarkozy par l'ensemble des électeurs s'avérait être un mauvais choix, on ne pourrait pas lui reprocher de l'avoir mis en selle. A Bercy, hier, Villepin était présent mais n'a pas soufflé un mot. Pour nous faire comprendre quelque chose ?
Rédigé par : Elle 50 | 30 avril 2007 à 19:04
Nicolas Sarkozy ou non, le devoir élémentaire de Dominique de Villepin est d'assurer la fonction qu'il a acceptée jusqu'au dernier jour comme n'importe quel salarié qui voit le poste qu'il briguait attribué à un autre. Dont acte.
De là à rendre service à Nicolas Sarkozy, c'est une autre affaire. Ce qui est en revanche à peu près certain, c'est que si le choix de Nicolas Sarkozy par l'ensemble des électeurs s'avérait être un mauvais choix, on ne pourrait pas lui reprocher de l'avoir mis en selle. A Bercy, hier, Villepin était présent mais n'a pas soufflé un mot. Pour nous faire comprendre quelque chose ?
Rédigé par : Elle 50 | 30 avril 2007 à 19:05