Elle50. Hélas, je ne pense pas qu’il s’agisse d’un farceur. Le Gascon aime bien l’esprit mais n’est pas porté sur les farces. Il faudrait en plus que le plaisantin ait plus de 18 ans et son permis de conduire. Nous sommes en pleine campagne. Donc, un vrai voleur.
Le Nain. Vos deux commentaires n’ont pas laissé de me faire réfléchir. Non, je ne suis pas pour le nivellement par le bas. J’aime bien les gens, petits et grands, bien habillés. A Paris, je vois passer tous les jours sous mes fenêtres les ados de trois grands établissements scolaires. Ils sont dépenaillés avec beaucoup d’argent sur le dos. Pas la peine d’instituer un uniforme, la tyrannie des marques suffit. Ils sont, entre deux braillements pour les garçons et deux gloussements pour les filles, pendus au téléphone, pas des modèles d’entrée de gamme. Ca peut être tentant pour des voyous. Jadis, mon fils s’est fait attaquer à 15 h au métro Victor Hugo, une heure de vieille dame et pas franchement un quartier mal famé, pour ne pas avoir donné sa montre à un commando composé de deux “blacks” et un “beur”. Il n’avait pas de montre et en tout cas pas de blouson à 500 € mais la gueule d’un petit gars bien propre sur lui. Résultat, les deux incisives supérieures cassées à ras et quelques contusions. Les flics étaient blasés. Ca m’a énervée.
L’amant-de-la-cousine-Bette. Bien sûr que la misère, pas seulement matérielle mais aussi culturelle, fait le lit de la violence et des extrémismes. Quand on n’a pas les mots, on a les gestes et les actes : on crie, on bat, on vole, parfois on tue. Mais frapper des gens à coup de marteau, n’importe quel individu en France sait que ça n’est pas permis. Même les gosses du quart-monde vont à l’école. On a bien dû le leur dire. Enfin, peut-être pas précisément pour le marteau.
Adamastor. C’est parce que je ne suis pas écolo par idéologie que cette histoire d’abeilles m’intéresse. Voilà un sujet sur lequel tout le monde se casse la tête depuis des années. Aucune hypothèse “scientifique” ne semble expliquer le phénomène. Il doit bien y avoir une raison. Parfois on cherche partout ce qu’on a sous le nez. C’est peut-être le cas avec cette histoire d’odeur. Je précise que je n’ai aucun intérêt personnel dans l’affaire si ce n’est que je déplore le prix désormais très élevé du miel et de la cire à parquet.
Chère Grain de Poivre, J'aime quand vous répondez à quelque commentaire. Je vous en remercie. Pour ma part, le mien se bornait à signaler que le même billet avait été publié deux fois, presque à l'identique, d'où mon soupçon sur la manipulation de la souris.
Pour le fond je partage votre inquiétude en ce qui concerne les abeilles et le prix du miel. Ma maison, en Vaucluse, n'est pas loin des champs de lavande où je vois butiner, lorsque j'y suis, ces aimables et utiles bestioles et je m'étonne toujours du prix exorbitant du miel de lavande! Ici, dans mon ailleurs, je n'ai pas de champs de lavande mais le miel est moins cher!
Rédigé par : adamastor | 06 juin 2012 à 20:43
Tout à fait !
Jolis reflets dans un oeil d'or, d'une société...mal dans sa peau ?
Rédigé par : L'amant-de-la-cousine-Bette | 07 juin 2012 à 10:12