La surmortalité des abeilles serait due aux abeilles elles-mêmes. Elles tueraient leurs congénères qui rentrent à la ruche en sentant l’insecticide. Odeur attrapée lors des traitements agricoles. Que faire ? Des intrants parfumés à l’acacia ? Pas du tout. Il suffirait, paraît-il, de traiter lorsque les hyménoptères dorment, c’est-à-dire la nuit.
Que vous arrive-t-il Grain de Poivre? Vous sucrez les fraises avec votre souris?
Rédigé par : adamastor | 05 juin 2012 à 20:01
Bonjour,
Etant partie prenante, je serais plus tolérant. Ma -( folle et heureuse )- jeunesse incluant plusieurs bergers des abeilles, la constatation de la raréfaction d'icelles interpelle et angoisse : qui dit abeilles dit humanité.
Rudolf Steiner déjà, en 1923 avait annoncé et chiffré du catastrophique sur le sujet, au même titre qu'en 1924, il prévoyait la crise de la vache folle et autres joyeusetés de notre époque.
La mobilisation des acteurs est permanente depuis pas mal d'années, éleveurs et scientifiques, mais les solutions semblent effroyablement complexes à chiffrer. Car prenant à contre pieds le modernisme économiquement rentable.
C'est pour cela que ce billet me 'touche", je n'ai pas dit me pique.
Bonne journée.
Rédigé par : L'amant-de-la-cousine-Bette | 06 juin 2012 à 09:09
Un virus très contagieux transmis par la mite parasite "Varroa" contribuerait à la propagation et probablement à la mort de millions d'abeilles dans le monde, selon des chercheurs américains et britanniques dont les travaux ont été publiés jeudi aux Etats-Unis.
Rédigé par : adamastor | 08 juin 2012 à 10:41