C’est la coutume : je souhaite à tous mes fidèles lecteurs une bonne et heureuse année 2012. En cette période de crise, de beaux esprits s’interrogent : est-il encore tolérable que l’on dépense tant de temps et d’argent en pots de Nouvel an ? Ne ferait-on pas mieux de donner l’équivalent aux Restos du cœur ? Quelle bande de pisse-vinaigre ! Supprimer les vœux et leur tralala c’est comme renoncer au défilé du 14 Juillet. Même si tout le monde sait bien que les souhaits se heurteront à la dure réalité de la vie quotidienne, politique, économique et mondialisée, ils permettent l’espace d’un instant de rêver à une vie pavée de pétales de rose. Et ça, ça ne coûte pas bien cher.
Bonne anée, il il vaut meux dépenser de l'argent pour soi-même et ceux qu'on aime que de le filer au percepteur.
Rédigé par : Le Nain | 02 janvier 2012 à 12:13
Un bouquet pour la plus belle ,
elle qui est celle,
qui a notre coeur,
et à qui on offre ces fleurs !
Tres bonne année 2012 remplie de brassées de roses, orchidées, freesias, lys , renoncules....
Rédigé par : Sybilla la 2 nd | 02 janvier 2012 à 14:33
Bonne année Madame. Est-on sûr au moins que la suppression de ces traditionnels pots de fin ou de début d'année correspondent à une volonté d'économie ou de conjurer la crise? Je n'en suis pas si certain!
Rédigé par : adamastor | 02 janvier 2012 à 15:11
Que doit-on dire ? Bonne année, meilleurs (comparatif) voeux, voeux les meilleurs (superlatif) ? On a prétendu autour de moi que "bonne année" était à éviter, parce que "ça ne se dit pas".
Après les pots, les galettes des rois !
Rédigé par : Terreaux | 03 janvier 2012 à 23:26
Après un pot du Nouvel An, viendra le temps de l'impôt 2012 !...
Rédigé par : Dominique | 04 janvier 2012 à 09:58