Alléchée par les messages
radiophoniques et la une d’Aujourd’hui en France, je décide de franchir le pas
et de tenter ma chance à la supercagnotte de l’euromillion qui sera tiré ce
soir. Le buraliste, goguenard, me tend une grille, m’explique comment la
remplir. Ce que je fais, persuadée que je coche à chaque fois un numéro perdant.
Mais comment savoir ? Et au moment d’encaisser ses dix euros (cinq grilles
à deux euros), il me demande narquois « Et les jokers, vous prenez des
jokers ? » Moi, vraiment petit bras parce qu’en face de cent millions
d’euros, franchement, de quoi ça a l’air, de lui demander « Et c’est
combien un joker ? ». Un euro. Si j’en prends cinq, comme je vais perdre,
ça fait beaucoup. Dans le doute et au cas où, j’en prends un, sans savoir
vraiment à quoi ça sert. L’affaire me coûte onze euros. On verra demain. De
toute façon, si je gagne je ne le dirai pas. Pour éviter les tapeurs.
Bonne chance quand même !... ;)
Rédigé par : Keckel | 08 février 2010 à 11:59
Crossing fingers.. hi hi hi
Rédigé par : Poivre de Kampot | 18 février 2010 à 20:51