Aux beaux jours un de mes passe-temps favoris est de m’installer en fin d’après-midi à la terrasse du café, place de Lévis, avec un bouquin. Aujourd’hui, je n’avais pas de bouquin donc pas de raison de m’asseoir mais j’ai constaté que beaucoup de guéridons étaient encore libres malgré le soleil qui daignait enfin se montrer. D’ordinaire, on a du mal à se caser. Serait-ce un effet de la crise ?
Grain de poivre
La "crise" n'est guère perceptible aux terrasses des cafés de la place St-Augustin ou de celle du Trocadéro. Des quartiers seraient-ils mieux préservés que d'autres ?
Rédigé par : Philo 3 | 12 mai 2009 à 23:07
Elle ne l'est pas non plus à Angers, si j'en juge le nombre de gens attablés aux terrasses de café.
Rédigé par : la belette | 13 mai 2009 à 22:58
Pas perceptible à Aix non plus...
Rédigé par : Caritate Libertine | 18 mai 2009 à 16:49