Autrefois, les gens avaient des problèmes de glandes. Les hommes étaient coureurs, les filles avaient le feu au derrière. C’était la faute aux glandes. On n’en parlait qu’à mots couverts et les enfants sentaient bien qu’il s’agissait de quelque chose de pas très propre, de vaguement mystérieux, un truc de grande personne qui ne les regardait pas et dont il aurait été horriblement mal élevé de chercher à en savoir plus. Aujourd’hui les glandes ont disparu au profit des hormones et de la libido qui, elles, s’étalent au grand jour.
Grain de poivre
Savez-vous que les hommes infidèles n'en sont pas responsables ? On aurait découvert que c'est un gène qui les rend ainsi. Ben voyons ! C'est pas d'ma faute, peuvent-ils plaider dorénavant... j'peux pas m'en empêcher ; comme le scorpion qui ne peut s'empêcher de piquer même si ça doit causer sa perte ! Faux-culs !
Rédigé par : Caritate Libertas | 10 février 2009 à 20:13
Si, on peut parler de glandes sans paraître rétro, en précisant "endocriniennes".
Rédigé par : 6ème A 6 | 15 février 2009 à 23:19