Dans les banlieues et souvent dans les villes de province les rues sont anonymes. A croire que les municipalités font des économies sur les plaques. Résultat, c’est le cauchemar, on tourne en rond pendant des heures dans des déserts pavillonnaires ou entre des falaises de béton, de verre et d’acier. L’itinéraire qu’on a pris la précaution d’éditer n’est d’aucun secours puisqu’on ne sait pas dans quelle voie on roule. Personne à qui demander son chemin, pas un café du coin (ils ne lisent pas Le Parisien Aujourd’hui en France dans ce bled ?), pas une pompe à essence (mais où donc les indigènes font-ils le plein ?), pas un passant (ils sont tous au boulot ?). Ni une boulangerie, ni une pharmacie. Rien. Que des feux de circulation qui mettent trois plombes à passer du vert au rouge et inversement.
Grain de poivre
C'est pour faire acheter des GPS ! (Et qui, en plus, signalent les radars !
Rédigé par : Elle 50 | 04 décembre 2008 à 23:15
Et, à Paris, les numéros d'immeubles (ou les plaques à code d'accès) illisibles la nuit sans lampe torche !
Rédigé par : 6ème A 6 | 08 décembre 2008 à 00:05