Ce que j’aime dans les séries policières, c’est que le héros
ne peut pas mourir puisqu’il doit être présent dans l’épisode suivant. En plus,
la durée est rigoureusement identique d’une fois sur l’autre de sorte que
quelle que soit l’intensité de l’action on sait qu’on sera rassuré dans vingt
ou dix minutes. Bref, j’ai peur à bon compte, comme les enfants à qui on raconte
des histoires.
Grain de poivre
C'est aussi, mutatis mutandis, la recette de Tintin, avec Rastapopoulos et Muller, ou de Blake et Mortimer, avec Olrik.
A signaler à M, la publication d'un ouvrage sur Yolande d'Aragon, grâce à laquelle la France n'a pas perdu la guerre de 100 ans.
Rédigé par : 6ème A 6 | 05 avril 2008 à 21:32