Hier encore je pensais passer la journée d’aujourd’hui en Gascogne où l’été règne encore. Ce soir je serai à Paris. Qu’aurais-je fait pendant trois jours à la campagne que je ne ferai pas ? Nettoyer le jardin, couper la rhubarbe, ramasser les figues, patrouiller à cheval. C’était essentiel. Dans trois jours à mon retour jardin, rhubarbe, figues et cheval m’auront attendu. Je renouerai le fil. Ce séjour parisien se sera dissout.
Bonjour...
Homme de la plaine, pourquoi gravis tu la montagne ?
Pour mieux contempler la plaine.
Tout est inversé certes, mais pourtant, un petit je ne sais trop quoi...
Ce billet me parvient parfumé ou enluminé d'un très très subtil automne...
Rédigé par : L'amant-de-la-cousine-Bette | 09 octobre 2012 à 08:01